Retour à l’écriture

Mis en avant

Après de nombreux mois d’absence, le site est de nouveau accessible et je suis de retour sur les réseaux sociaux, même si mes visites se limiteront aux stricts minimum tellement ils me vampirisent. 2023 a été une année compliquée, le moment d’une remise en question, de concentrer mon énergie sur d’autres choses, mais également améliorer mon écriture trop chaotique.

Après maintes péripéties et retournements de son plan, j’espère finir le tome 2 de Dans les yeux de Julie fin du premier semestre 2024. Il sera différent du premier dans sa forme et ne plaira peut-être pas à l’ensemble des 1200 lecteurs du premier volet que je remercie au passage.
Dans mes tiroirs d’autres histoires s’impatientent : Abékalminas, un univers heroic fantasy qui comporte déjà plus de deux volumes, mais également : Restes d’humanité, une nouvelle dystopie, Ju-B432 l’explorateur, orientée SF jeunesse, Yann, une romance sous forme de novela (enfin pour l’instant), Sombre, un thriller psychologique, John Doe, un roman d’espionnage, une version améliorée  pour « Le pacte » et bien d’autres… un bon millier de pages qui attendent d’être retravaillées pour voir le jour.

La sirène et le capitaine

Temps de lecture : moins de deux minutes.

L’aube pointait à l’horizon quand il la vit pour la première fois. Curieuse, la sirène observait la caravelle éventrée telle une coquille de noix. Le capitaine, accroché aux restes d’un mât d’artimon, reprenait lentement ses esprits après une nuit agitée plus que de raison.

La victime brisée par l’épreuve du naufrage, pensa à un mirage, une hallucination due à la chaleur du rivage. Elle était magnifique, déesse aux écailles d’or scintillantes sur les flots, ses cheveux entremêlés d’algues et de coquillages sortis d’une peinture de Michelangelo.

Ignorant les légendes et récits de la mer, le fier capitaine en tomba amoureux dès que leurs regards se croisèrent. Mais les marins survivants intervinrent toutes gaffes dehors, chassèrent le monstre, lui attribuèrent leur sort.

Mais bientôt la belle née des eaux revint sur le rivage, pour comprendre la flèche de Cupidon et son curieux langage, à la recherche de l’homme qui, sur ses deux jambes campées, pourrait en un instant apaiser sa solitude des dix siècles passés.

Reine d‘un peuple autrefois majestueux, elle était la dernière, hôte d’une cité antique engloutie par les caprices de la terre. Sacrifiée par les dieux, paria de l’humanité, en cette seconde unique d’éternité, un ultime espoir dans son cœur était né.

Leur retrouvaille par un jour de tempête ne se fit pas sans heurt, ainsi ils réunirent l’enveloppe charnelle de leurs âmes sœurs. Chacun céda à l’autre une parcelle de son corps, et d’un baiser à jamais scellèrent leur destin dans un parfait accord.

Avec lui, elle fit le vœu de découvrir un nouveau monde, braver les dangers, laisser s’exprimer ses pensées vagabondes. Derrière les dunes cachées à son regard, imaginant des contrées merveilleuses, elle passa à travers le miroir.

Vivant heureux et libre dans un monde sans frontières. Avec la grâce jour après jour d’exaucer leurs prières. À l’abri du courroux des hommes toujours prompts à condamner, ce qu’ils ne comprennent pas, une alternative de pensée.

Toi qui lis ces lignes, crois-en la légende de la sirène et du capitaine parcourant la terre. Du fond des abysses aux plus hauts sommets, ils accomplirent leur voyage dans une danse endiablée.

Aujourd’hui encore, aux premiers rayons du matin, écoute le vent entonner le refrain. D’une chanson d’amour qui a embrasé les cieux, d’une histoire que deux êtres opposés raconta de merveilleux.

L’envie

Temps de lecture : 2 minutes

 Pour la première fois depuis des siècles, je fus délicieusement surpris par le sentiment de liberté procuré par ce nouveau corps. Dès les premières lueurs de l’aube, je partis flâner dans le parc de la tête d’Or. J’aime cet écrin de verdure qui a su garder son charme tout au long de ces deux siècles d’existence. L’automne a toujours eu ma préférence, ce moment enchanteur où les feuilles des arbres commencent à jaunir apporte une touche supplémentaire de couleur invitant à la contemplation. Au fil de la journée, les fragrances d’humus ravivaient les souvenirs d’un lointain passé de cavalcades dans les grandes forêts des régions du nord.

Sous mes yeux, la faune qui s’agitait excitait mes sens, certains se préparaient au départ, d’autres aux dangers de l’hiver. La promesse d’un bel été indien se dévoilait. Dans quelques heures, le soleil à son zénith réchaufferait ma carcasse mollement affalée face au lac. Tout allait pour le mieux et je pensais jouir de ce spectacle en attendant le prochain cycle. Quant à quelques mètres, une jeune créature à la crinière fauve et révoltée apparut dans mon champ de vision. Sans que je sache pourquoi, mon esprit s’émerveilla à la vue de sa démarche féline, souple et généreuse, me rappelant celle d’une lionne. Ses yeux émeraude remplis de tristesse me touchèrent en plein cœur, m’incitèrent au voyage, exaltant une envie de tendresse, une faim de caresse, de jeu de langues, quelque chose de doux et de chaud. À cet instant, quel qu’en soi le prix, nous devions faire connaissance, j’eus le besoin impérieux qu’elle devienne mienne, d’être son esclave, d’unir nos âmes et de me prélasser dans sa couche.

Sans attendre, je me levai et la rejoignis d’un pas tranquille, je déployai tous mes charmes, mis en évidence mes yeux d’ange pour lui confirmer qu’elle pourra profiter de moi sans retenue. Elle me vit et un sourire radieux vint éclairer son visage. La moitié du chemin était accompli, ma toile prête à l’accueillir. Quand nos regards se croisèrent, elle me tendit une main fine et délicate.

— Bonjour petit chat, que fais-tu tout seul au milieu du parc ?

Était-ce l’exaltation des sens de mon hôte, les miens ou la symbiose des deux qui ont façonné cet instant magique, je ne le saurais jamais. Ma quête fit une pause dans cette seconde d’éternité, nous unissant pour une vie.

Tout va bien !

Temps de lecture : moins d’une minute

L’homme remit sa cravate en place et se pencha sur son premier adjoint avec un sourire sardonique.

— Ne vous inquiétez pas, mon cher. Tout va bien se passer, je vais les retourner comme des crêpes et après, on ira tranquillement finir nos profiteroles. S’ils étaient belliqueux, nous serions déjà tous morts, non ! Alors, arrêtez avec vos conneries d’apocalypse !

Alice, son assistante avait osé déranger monsieur le Maire avant la fin de son déjeuner et il détestait ça. Laurent de Bergerac, élu au poste le plus prestigieux de cette grande ville de New-City, était un spécialiste des discours bien ficelés avec son charisme et un talent oratoire sans pareil. L’arrivée des vaisseaux au-dessus de la ville avait créé un mouvement de panique. La population était en proie à une terreur sans nom et l’arrêt soudain de tous les moyens de communication n’avait rien arrangé. Les services gouvernementaux ne répondaient plus depuis plusieurs heures et il n’y avait que monsieur le Maire pour ne pas voir le danger présent au-dessus de sa tête.
Devant une foule déchaînée, maintenue difficilement en place par un cordon de police urbaine, il leva les bras bien haut pour demander la parole et se pencha sur le micro le sourire aux lèvres pour entamer son discours d’apaisement. Quand une violente déflagration déchira l’air, une lumière aveuglante désintégra l’ensemble du conseil municipal et des premiers rangs de l’assistance, ne laissant qu’un trou circulaire parfait de plusieurs mètres de profondeur et un nuage de poussière s’élevant dans les airs…
Derrière son pupitre, Glloq pesta en tapant sur la console. Lui qui souhaitait juste cibler la tête de la créature hideuse qui agitait ses membres supérieurs pour lui couper le sifflet, avait bêtement oublié de régler la largeur de son rayon. Sa blague tombait à plat. Mais ce n’était pas un drame, le commandeur avait donné le top départ et tel un enfant munis d’une loupe pour tuer des insectes affolés ; il allait passer un moment de franche rigolade avec ses collègues de tir. Sur cette planète, il y avait de quoi faire et la suppression de cette espèce invasive et destructrice était nécessaire avant qu’il ne pollue cette partie de l’univers.

La bêta lecture, on en parle ?

a bêta-lecture est un sujet de discussion qui revient à fréquence régulière sur les pages FB dédiées aux auteurs. J’ai le sentiment, mais cela n’engage que moi, que beaucoup ne comprennent pas le rôle du bêta-lecteur (BL pour les intimes) ou l’ignorent complètement ; ce qui est plus grave pour cette étape jugée indispensable dans le processus de construction d’un ouvrage ! La plupart des maisons d’éditions ont des bêta-lecteurs, c’est qu’il y a certainement une raison.

Cela fait quelques années que je pratique la bêta-lecture et au vu de certains romans, je me suis souvent dit que je devais être maso. Ce qui me pousse à continuer : L’espoir d’une belle découverte qui peut amener sur de belles rencontres; du point littéraire, bien sûr, ne vous méprenez pas ! Bien sûr, cet avis ne se veut pas une règle universelle, c’est une réflexion qui peut en amener d’autres. Alors, ne me sautez pas dessus. Commentez !

édit : Addendum sur le choix de prendre un proche pour BL :

Cette mission si vous l’acceptez…

     Comprenez bien qu’un BL qui accepte, bon gré mal gré, de parcourir votre roman n’est pas un professionnel (sinon ce serait payant !). Ce n’est pas non plus un prof de français qui corrige votre copie (même si certains auteurs le sont. Pouce en l’air à eux). Il le fait par rapport à son vécu, ses expériences de lecture, ce n’est pas non plus un critique littéraire. Quand j’écris, « bon gré mal gré » ; c’est aussi pour mettre le doigt sur le fait que le BL prend un risque non négligeable en acceptant ou en se proposant de lire votre roman ; ne nous voilons pas la face, cela peut-être un moment de lecture merveilleux, mais aussi un calvaire de plusieurs centaines de pages, donc pas mal d’heures à la clé.
Oui, la bêta-lecture représente un travail important. Les BL doivent donc avoir le temps pour accomplir leur tâche, la plupart sont comme vous ; derrière leur écran, ils ont un emploi, peut-être un.e conjoint.e, des enfants, une vie « standard » quoi !
Le lien entre un auteur et son BL est un contrat moral et doit le rester dans cette forme. La seule exigence que vous pouvez avoir de lui, c’est la confidentialité et la non-diffusion de votre texte.
Contrairement à vos futurs lecteurs, et malgré les écueils qu’il va « peut-être » rencontrer. Ce « super-lecteur » va aller jusqu’au bout de votre livre (la plupart du temps). Il est là pour vous permettre d’améliorer votre ouvrage, combler votre manque de recul, vous permettre de voir les failles de votre intrigue, de vos personnages, de l’histoire et la crédibilité de l’ensemble, souligner des problèmes de répétitions, de redondance, de doublons de certains mots et peut-être de construction de certaines phrases. Par contre, sa tâche n’est pas de :

  • Réaliser à votre place, le travail que vous n’avez pas fait par manque de temps, de recherches ou de flemme (voir le calvaire du BL en dessous) ;
  • Vous apprendre à écrire et à rédiger ;
  • Vous expliquez les règles d’orthographe, de ponctuation, de grammaire et de conjugaison ;

     En clair, le roman qu’il lit est le vôtre pas le sien ! C’est important de le souligner. Si vous cherchiez un « réécriveur » ou un correcteur professionnel, il est temps de sortir votre portefeuille et de faire un tour sur des sites qui proposent ce type de services.

Bêta-lecteur, qui es-tu ?

     L’auteur à besoin de savoir qui sont ses BL afin de comprendre leur réaction face à son ouvrage, sont-ils des femmes, des hommes, des jeunes, des quinquas, font-ils partie de son public cible ? Peuvent-ils l’être ? Le but est de réaliser une cartographie avec des informations de base qui lui seront utiles comme la liste ci-dessous :

Prénom ou pseudo
Êtes-vous, un homme, une femme ?
Quel est votre âge ?
Quel style de roman lisez-vous habituellement ?
À quelle fréquence ? (Nombre par an, par mois)
Êtes-vous, auteur ou futur auteur ?
Si vous êtes auteur, combien de roman avez-vous édité ? Et de quel genre ?
Si vous êtes un futur auteur, quel genre de roman écrivez-vous ?

     Les retours de tous les BL sont importants, même les négatifs, je dirais même surtout les négatifs. Ils sont la base de données qui va permettre à l’auteur de savoir où il a péché, quelle partie il doit travailler, etc., mais aussi à qui parle son roman et donc si, par exemple, le public cible qu’il a défini est le bon.
Connaître le profil des BL est primordial, ce n’est pas toujours la quantité qui compte, et n’avoir que des BL d’un même profil « sexe et âge » peut vous faire passer à côté d’éléments importants. Une expérience que j’ai faite avec mon roman « Dans les yeux de Julie » où les remarques les plus intéressantes ont été écrites par des BL ne faisant pas partie de mon public cible, mais dont la maturité leur a permis d’avoir une lecture plus fine entre les lignes. Donc des corrections de ma part pour élargir mon public cible.
Bien sûr, comme l’engagement du bêta-lecteur pour le roman, l’auteur doit s’engager à ne pas diffuser les informations concernant ses BL à autrui sans leur permission.

Le calvaire du bêta-lecteur

     Le BL a quelques fois une croix à porter. Je conseille souvent aux auteurs de s’essayer à la bêta-lecture pour bien comprendre à quoi ceux-ci sont confrontés. Je vous assure que ce n’est pas du temps perdu. Et cela pourrait éviter à ceux-ci quelques écueils comme ceux ci-dessous qui sont souvent la cause d’abandon.

  • Le niveau de français de l’auteur n’est pas suffisant, mais il dit que c’est l’histoire qui compte et n’a pas envie de faire d’efforts sur la question.
  • L’auteur a fait son livre « à l’arrache », pas de construction, pas de plan, pas de fiches personnages, intrigue bancale, histoire non crédible, etc.
  • L’auteur n’a pas pris le soin de se relire à minima et a pris le BL pour un correcteur orthographique et grammatical !
  • Les personnages changent de caractère, de comportement au fil des scènes sans explications, enfin si, surtout quand cela arrange l’auteur (si, si, je vous jure que cela se voit !).
  • L’histoire ne correspond pas au synopsis / 4e de couverture et ne plaît pas du tout au BL.
  • Le livre se rapproche plus d’un guide pratique sur la randonnée en montagne (la passion de l’auteur) que d’un roman !

    Si vous êtes BL, je suis sûr que vous devez en avoir plein d’autres comme ceux-là, n’hésitez pas à laisser des commentaires. Je me ferai un plaisir de compléter.

Petits conseils aux bêta-lecteurs

     Ne pas avoir peur de donner votre avis, même négatif. Dans tous les cas, toujours l’argumenter. Attention à rester pédagogue, votre avis n’est pas un réquisitoire parce que le sujet traité ne va pas dans le sens de vos convictions, vous pouvez donner votre point de vue, mais vous devez respecter les choix de l’auteur.
Prenez du recul sur l’histoire afin de la voir dans son ensemble. Généralement, il faut faire une première lecture en lecteur simple et une deuxième en diagonale pour récupérer les données qui  vous ont titillé le cerveau au premier passage.

Petits conseils aux auteurs

     Évitez la facilité, prendre ses BL dans ses amis ou/et sa famille est souvent chose aisée, mais c’est une très très mauvaise idée, dans 90 % des cas ; ils sont de mauvais BL à cause des liens affectifs que vous avez avec eux. Bien sûr, faites leur lire vos écrits à la demande pour ne pas les vexer, mais il y aura toujours un doute sur leur objectivité, c’est humain. Un peu comme quand vous donnez votre avis sur les tableaux réalisés par votre tante Aglaé que vous aimez beaucoup, mais que vous ne souhaitez pas contrarier en lui disant que ses œuvres donnent des cauchemars aux enfants !
On peut aussi se poser la question sur l’objectivité d’un BL qui vous propose son propre roman en bêta-lecture en même temps. C’est un échange qui peut être embarrassant, avec le risque d’un manque d’objectivité ; c’est un phénomène assez courant que j’apparente à de la bêta-lecture de complaisance et cela peut créer un doute et donc du temps perdu pour les deux partis. La bêta-lecture doit être un choix, pas un retour de service contraint.

À la recherche de bêta-lecteurs

Il existe de nombreuses pistes pour trouver des bêta-lecteurs.trices (Forums, Groupes Facebook, Wattpad, Fyctia, etc.). Vous n’avez jamais finalisé un texte ni éditer, alors vous allez devoir montrer patte blanche et fournir un minimum d’informations sur votre ouvrage pour les attirer et les convaincre de vous lire. De plus en plus de bêta-lecteurs ont besoin d’être rassurés, ce qui est logique au vu des nombreux manuscrits écrits sans aucune préparation qui sont proposés tous les jours. Eh oui, vous n’êtes pas le premier à débarquer un matin sur FB avec votre roman en pensant trouver une miriade de BL prêt à vous lire.
Que vous soyez à la recherche d’un éditeur ou en auto-édition, ces informations sont primordiales et tôt au tard, vous allez devoir travailler dessus, alors c’est le bon moment pour y réfléchir.
Je sais que ces sujets vont faire bondir certains qui pensent que choisir va les enfermer dans des cases, alors que c’est tout le contraire. C’est un débat qui pourra faire l’objet d’un autre billet.

Informations de base à fournir à vos bêta-lecteurs :

Le genre : romance, SFF, thriller, polar, jeunesse, historique, épouvante, biographie, etc. Vous pouvez même faire un mix, mais il serait bien de déterminer celui qui ressort le plus. Les Bl sont comme vous et moi, certains ne lisent pas de Gore ou d’épouvante, d’autres s’endorment sur les biographies ou les romances.

Le public cible : enfants, ados, jeunes adultes, adultes, hommes, femmes, etc.
pour la partie jeunesse, avoir une tranche d’âge et fortement recommandée.

La thématique : la recherche de la vérité, le mensonge, la tolérance, l’accomplissement de soi, la résilience, l’amour, etc.
parce que dans toutes les histoires, il y a un message (voir plusieurs).

Synopsis et/ou 4e de couverture : le résumé de votre histoire avec, si possible, une présentation de l’univers (surtout pour la SFF), des personnages.

Petites phrases d’auteurs

     Je voulais finir par quelques mots doux d’auteurs avec mes réponses. Il s’agit souvent d’ouvrage réalisé sans préparation et dont ceux-ci n’ont même pas pris la peine de se renseigner sur la forme d’un roman et une méthode de réalisation ; ne parlons pas d’un usage correct du français, de corrections orthographiques, grammaticales ou de ponctuations, ce serait grossier !

J’ai écrit le livre pour moi !
Alors pourquoi le faire lire aux autres !

Je n’ai pas le temps de relire mon texte !
Désolé, votre roman n’est pas dans une phase assez avancée pour une bêta-lecture. (réponse très diplomatique !)

La corection d’orthographe, sé pas mon boulo !
Avec deux à trois fautes par phrase ni le mien ! J’ai les yeux fragiles, je ne pourrais donc pas poursuivre la lecture de votre roman.

C’est le travail de la maison d’édition, ça ! (idem au-dessus)
Oui, le jour où vous en aurez trouvé une qui accepte un roman dans cet état ! c’est bien connu, les ME sont des entreprises philanthropiques.

J’aime pas lire !
Moi non plus ! (Que voulez-vous dire d’autres, je n’ai pas trouvé de réponse plus bête !)

Les autres BL disent l’inverse !
Tant mieux, comme ça, vous aurez des avis divergeant et un moyen de comparaison.

De toute façon, ton avis ne compte pas, tu n’es pas mon public cible !
Cette réponse est surtout un blocage de l’auteur qui refuse les commentaires qui ne vont pas dans son sens. Ici, on est à la limite de l’exercice. Je t’ai donné mon avis, tu en fais ce que tu veux. (J’ai passé une 12e d’heures sur son livre !).

N’hésitez pas à laisser des commentaires sur le sujet, je serais ravi de vous répondre.